Normes patriarcales à travers le film « Le Bal de Folles »

Les Normes Patriarcales

Afin de critiquer les normes psychiatriques patriarcale au XIXe siècle (à travers le film « Le Bal de Folles »), on doit commencer avec le mot hystérie et son étymologie. L’origine de ce mot est basée sur la définition d’une maladie par Hippocrate. Il a défini ce mot comme liée à l’utérus. Ce mot est souvent utilisé comme péjoratif. Après, au XIXe siècle, il est série est devenu un chambre d’études médicales avec les travaux de Charcot mais symboliquement, l’hystérie a continué d’être considéré comme une maladie féminine. Elle était associée à la croyance que les femmes sont naturellement plus faibles et plus proche à la dépression et elle apparaissait beaucoup à cette époque. Puis, certains symptômes tels que les difficultés émotionnelles des femmes ont également été définis comme de l’hystérie.

Le Bal de Folles

Dans le film qui s’appelle Le Bal des Folles, l’hôpital de la Salpêtrière est composé de femmes, et certaines d’entre elles ont été diagnostiquées hystériques à cause des différents états émotionnels qu’elles ont montrés. Dans le même temps, les méthodes de traitement difficiles étaient utilisées à cette époque et elles étaient utilisées dans un sens péjoratif envers les femmes. En particulier, les docteurs ont exercé une pression sur les patientes en profitant de leur situation et en appliquant diverses violences physiques et sexuelles.
De plus, les normes psychiatriques existantes au cours de cette période étaient souvent utilisées pour exercer un contrôle sur les femmes qui sont définis par l’autorité masculine. Dans ce cas, si on donne un exemple dans le film, on peut parler du dialogue entre le docteur et la personnage principale dans le film. Dans ce dialogue, on a vu que le docteur principal a essayé de contrôler les patientes en les donnant les médecins et les traitements difficiles et quand la personnage principale de film a compris cette situation, elle a décidé de discuter avec lui.

Cependant, quand elle a fait ça, elle a été directement diagnostiquée avec de l’hystérie, et elle a traité avec des conditions de traitement sévères, elle a été intimidée et contrôlée par des hommes. De plus, comme on a mentionné dans l’exemple du film, les méthodes de diagnostic de l’époque étaient basées sur des critères arbitraires et subjectifs et étaient généralement déterminées par des docteurs, a renforcé les inégalités entre les sexes.
Dans le film, on a vu qu’il y a un balle chaque année où les patientes se sont habillées des costumes. On peut dire que dans cette scène du bal dans le film humilie les femmes et il les présente comme un cirque préparé pour les gens de la classe supérieure. Surtout ici, on voit comment les gens de la classe supérieure et les hommes humilient ces femmes. Ils les voient comme un objet sexuel et ils les abusent sexuellement.
Ensuite, dans la XIXe siècle, pour étudier les femmes hystériques, les médecins ont décidé de prendre des photos.

On peut dire que la situation de photographier les femmes, qui était utilisée au XIXe siècle pour suivre cette maladie, est l’une des parties les plus importantes de la pratique de discipliner le corps féminin et d’établir un pouvoir sur lui. Ainsi, la classification des femmes par la photographie est devenue l’un des outils fondamentaux de la science au XIXe siècle et utiliser pour produire des humaines obéissants.
En outre, il y avait des séances qui sont très fameuses dans cette siècle qui s’appellent “conférences du mardi” de Charcot, dont on a vu dans le film, étaient réalisé comme publiquement hypnotisées des patientes hystériques, qui réalisent leurs symptômes, et les symptômes apparus à la fin de cette émission étaient présentés comme des preuves de hystérie. Par conséquent, à la suite des nombreuses séances qui ont eu lieu ici, de nombreuses femmes ont été affectées physiquement et mentalement, et beaucoup sont restées paralysées. En plus, comme on l’a vu plus tard dans le film “Le bal des folles”, on peut dire que les femmes qui sont négativement affectées par cette situation ne sont pas prises en charge.

En bref, les normes psychiatriques patriarcales au XIXe siècle ont créé un système de pression fondé sur le sexe pour contrôler la santé mentale des femmes. Cette situation a également été utilisée comme moyen de contrôle social, la société a tenté de contrôler les femmes qui violaient ces normes par des traitements psychiatriques. Les femmes étaient emprisonnées dans des hôpitaux psychiatriques et les docteurs visaient à protéger l’ordre social en un sens en les contrôlant et en les faisant obéir aux attentes sociales.

Selena Yurtyapar